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 ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse ~

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River Song
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River Song


Messages : 38
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~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       Empty
MessageSujet: ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse ~    ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       Icon_minitimeMar 18 Nov - 19:43

~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       181251loup
RIVER   SONG


[Hors-limitage] : River  Song est OP, oui. Mais elle est hors-limite: elle represente le phoenix, un des symboles de 30 seconds to mars *-*  c'est pourquoi elle renait de ses cendrrs, tranquillou.


      Caractère
~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       558826petit  ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       913321second ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       590461trois



Procedente igitur mox tempore cum adventicium nihil inveniretur, relicta ora maritima in Lycaoniam adnexam Isauriae se contulerunt ibique densis intersaepientes itinera praetenturis provincialium et viatorum opibus pascebantur.

Quod cum ita sit, paucae domus studiorum seriis cultibus antea celebratae nunc ludibriis ignaviae torpentis exundant, vocali sonu, perflabili tinnitu fidium resultantes. denique pro philosopho cantor et in locum oratoris doctor artium ludicrarum accitur et bybliothecis sepulcrorum ritu in perpetuum clausis organa fabricantur hydraulica, et lyrae ad speciem carpentorum ingentes tibiaeque et histrionici gestus instrumenta non levia.

Eo adducta re per Isauriam, rege Persarum bellis finitimis inligato repellenteque a conlimitiis suis ferocissimas gentes, quae mente quadam versabili hostiliter eum saepe incessunt et in nos arma moventem aliquotiens iuvant, Nohodares quidam nomine e numero optimatum, incursare Mesopotamiam quotiens copia dederit ordinatus, explorabat nostra sollicite, si repperisset usquam locum vi subita perrupturus.

Illud tamen te esse admonitum volo, primum ut qualis es talem te esse omnes existiment ut, quantum a rerum turpitudine abes, tantum te a verborum libertate seiungas; deinde ut ea in alterum ne dicas, quae cum tibi falso responsa sint, erubescas. Quis est enim, cui via ista non pateat, qui isti aetati atque etiam isti dignitati non possit quam velit petulanter, etiamsi sine ulla suspicione, at non sine argumento male dicere? Sed istarum partium culpa est eorum, qui te agere voluerunt; laus pudoris tui, quod ea te invitum dicere videbamus, ingenii, quod ornate politeque dixisti.

Martinus agens illas provincias pro praefectis aerumnas innocentium graviter gemens saepeque obsecrans, ut ab omni culpa inmunibus parceretur, cum non inpetraret, minabatur se discessurum: ut saltem id metuens perquisitor malivolus tandem desineret quieti coalitos homines in aperta pericula proiectare.

Paphius quin etiam et Cornelius senatores, ambo venenorum artibus pravis se polluisse confessi, eodem pronuntiante Maximino sunt interfecti. pari sorte etiam procurator monetae extinctus est. Sericum enim et Asbolium supra dictos, quoniam cum hortaretur passim nominare, quos vellent, adiecta religione firmarat, nullum igni vel ferro se puniri iussurum, plumbi validis ictibus interemit. et post hoe flammis Campensem aruspicem dedit, in negotio eius nullo sacramento constrictus.

Et licet quocumque oculos flexeris feminas adfatim multas spectare cirratas, quibus, si nupsissent, per aetatem ter iam nixus poterat suppetere liberorum, ad usque taedium pedibus pavimenta tergentes iactari volucriter gyris, dum exprimunt innumera simulacra, quae finxere fabulae theatrales.

Haec dum oriens diu perferret, caeli reserato tepore Constantius consulatu suo septies et Caesaris ter egressus Arelate Valentiam petit, in Gundomadum et Vadomarium fratres Alamannorum reges arma moturus, quorum crebris excursibus vastabantur confines limitibus terrae Gallorum.




      Histoire
~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       437505cinq  ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       516486history  ~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       608708quatre




 "- River, répond moi, River, viens, on doit partir, je sais que tu es blessée, mais River, viens, vite, ou ils vont nous tuer, alors, viens, s'il te plait, je vais te porter, je te soutiendrais, t'inquiètes pas, ça va bien se passer, mais tu le sais, tu le sais bien, si on ne part pas ils vont vraiment nous tués, ils nous ont déjà retrouvés et tu as faillit y passer, River faut qu'on parte."

On aurait du y penser, pourtant, on aurait du. On était ensemble alors, alors quoi, qu'est-ce qu'ils pouvaient nous faire ? Ensemble on pouvait tout. Invincible, contre ces généraux qui m'avaient pris mon unique bien. Ils souhaitaient pourtant que je sois là, que je continue mes dances et mes chansons pour eux.  Que je sois une marchandise. Qu'on m'apporte aux nekos ou à la base spatiale, en échange ils donneront leurs aide, peut-être, ou peut-être pas. Il était plus probable qu'ils restent de marbre à ce " cadeau " qui était censé être moi-même, mais bon. Ce général, je savais déjà à quoi il pensait, si on a toujours son boitier, hein, qu'elle meure on s'en fiche pas mal. Et puis tout le monde sait comment sont les nekos, ils m'auraient réduites en pièces. Ils voulaient m'envoyer à l'abattoire en remerciement de leur avoir apporter une merveille pareille... Alors oui longtemps j'ai regretté, tellement de fois d'avoir mis les pieds dans leur bunkers de merde.




----
Quand je suis arrivée, c'est pas comme ça que je voyais le monde.
Les terres étaient d'une grande beauté, avec une grande île, surplombant le tout, en hauteur dans le ciel. Le chant de l'eau qui me m'appelait dès mon réveil. Des fleurs d'un joli rose, bleu, jaune, de toutes les couleurs, des prairies et des champs, des gens qui m'avaient accueillis, donner un nom, qui m'avaient apprécié oui, je m'en souviens encore.

... C'est doux et c'est beau. Quel est ce son ? Ca donne envie de dormir.  L'eau me parle. L'eau chante. C'est ça ?
Non. Je comprends pas.

Je suis sure que c'est ça.

Mon corps avançait vers la rivière pour entendre mieux cette chanson qui semblait m'appeller.  Elle semblait m'insciter à venir. Un morceau de tissu recouvrait mes cuisses, mais le reste de mes jambes étaient nues : je m'essaya donc à mettre un pied dans l'eau. Froid. Je mis l'autre jambe. Mais la rivière ne faisait pas que chanter, elle dansait. Je me retournais pour appeller les autres, mais quels autres, mince, je suis où, qu'est-ce que je fais ici, c'est quoi c't'endroit, et puis non, j'm'en fiche, mais pourquoi les gens ne viennent pas danser avec moi ?  Il semblait que la rivière chantait pour moi.  Où est-ce que c'est dans ma tête tout ça ? Non, non non. Je ne serais pas capable de créer quelque chose d'aussi beau. Mais c'est quoi ces fils là ? Ah, y'a quelque chose au bout. J'ai tiré dessus et j'entend plus rien ?
Une petite main sortie de nul part et remit les petits trucs près de mes oreilles. Certes, maintenant j'entendais à nouveau cette mélodie, mais je criais. Après tout, une main sortie de nul part quand même, et qui vous mets des trucs inconnu dans les oreilles, y'a de quoi avoir peur. Seulement je me rendais compte que la main était rattaché à un petit bras tout , ce même bras qui était rattaché à moi-même. Bon... Première chose que j'apprenais sur moi : j'étais d'une stupidité incroyable, mais bref. Je venais de prendre l'initiative de remettre ces petits... Ces petits machins dans mes oreilles. La chanson de l'eau ne venaient donc pas de l'eau, mais du petit boîtier. Le boitier devaient surement contenir de l'eau alors ?
Puis je vis le regard des autres se posé sur moi. J'avais crié comme une tarée en voyant ma propre main mettre ces trucs dans mes oreilles. -  Je ne sais même pas comment j'ai eu l'idée de faire ça... Je l'ai juste fait. Comme ça. Réflexe, je ne sais pas. Bref. En plus de ça, j'avais des fils reliés à mes oreilles, avec une petite boite au bout. Tous les regards étaient braqués sur moi. Je tenta de sourire, histoire de dire que tout va bien (ce que d'ailleurs je ne réussie absolument pas, je sentais bien que j'avais une tête stupide en essayant de sourire comme ça)... Mais je ne pris même pas la peine de regarder leurs réactions à vrai dire. Quand tout les autres avaient préférés se demander où ils étaient, qu'est-ce qu'ils faisaient là, et bien moi... Et bien je m'étais concentré sur moi en fait. Avant tout, je me découvrais. Juste histoire de savoir à quoi je ressemble, quoi. Ce qui est d'une débilitude absolue (pour changer), mais bon, ça j'avais compris, je n'étais pas dotée d'une grande intelligence.

Je découvrais mes cheveux, en premier, avec les quelques mèches qui me tombaient devant les yeux. Ils étaient roux, déjà. Et puis un peu ondulés aussi. C'est joli ça. A sentir la masse de cheveux dans mon dos, ils étaient épais, et plutôt long. Mais bon, j'étais... petite. J'avais vu, certes brèvement les autres personnes aux alentours, et je savais que j'étais la plus petite, c'est sur.
Pfff.
Passons à autre chose. Mon visage, comment est mon visage. Je pressais mes mains contre mes joues, contre ma bouche et mes oreilles. Cette fois j'avais vraiement l'air bizarre, mais, personne ne remarquait car ils étaient tous en train de paniqué derrière. J'observais mes petites mains, j'effleurais mes sourcils, je faisais le contour de mes yeux : hmm, ces derniers, wahou, plutôt grands.  

Puis je tourna la tête pour voir jusqu'où allait mes cheveux, tout en dansant sur le rythme de la musique et. WHAT. Normal, sans aucun complexe, une île se dressaient devant moi, comme ça. Hmm, je ne me souvenais d'absolument rien avant le réveil ici, mais, je ne sais pas pourquoi, voir une île volé ne me semblait pas totalement possible. (Bon sinon mes cheveux étaient comme je le pensais, plutôt long. Eum, pardon, je reviens à l'île volante). Juste comme ça, je commençais légèrement mais alors très très légèrement, pas à PUTAIN DE PANIQUER. Qu'est-ce que je faisais là. Qui est-ce que je suis et pourquoi je ne me souviens de rien. Oui sinon je ne commençais à paniquer que maintenant... Puis mon regard se posaient sur mes semblables (à qui il été arrivé pareil je suppose) abattus, déboussolés, assis, discutant avec les autres, essayant de comprendre ce qu'il se passe. Ils semblaient dans la même situation que moi, sauf qu'ils n'avaient pas fait les cons comme moi à chercher s'ils avaient les bras bleus ou verts, les joues bien rose et des cheveux bouclés, et encore moins à danser en écoutant une jolie musique.
Et alors. Une île volante. Pourquoi pas, c'est joli en plus. Je l'entendais, on m'appelait. Cette voix, cette mélodie. Elle n'était pas là pour rien. Elle réagissait au contact de la rivière. Elle me demandait de danser et chanter. Alors, quoi que peuvent faire les autres, pour être honnête je m'en fiche. Comprendre pourquoi on est ici ? A quoi bon. Et puis paniquer comme ils le font en avançant théorie sur théorie comme ils doivent surement être en train de le faire, hmm, je m'en passerais. C'est surement... juste un rêve. Et puis, l'appel de l'eau était trop fort. Je sentais mon corps se lever, bouger dans l'eau gelée, balancer les jambes, et une voix, - ma voix en fait - fredonner l'air. Je m'en fous de ce qui peux m'arriver. Si l'île volante va nous tomber dessus comme ils le disent si bien là-bas  (rho ce qui parlent tellement fort que j'entends même au loin), et bien qu'elle le fasse, l'île, si c'est ce qu'elle veut. Elle a le droit de tomber, quand même. Moi j'aurais danser dans l'eau au moins. Et euh... Bah c'est bien de danser de l'eau. C'est cool, si, si.
Je ferme les yeux juste un instant. Juste sentir l'eau si froide qu'on la croit passer à travers les jambes, en entonnant la sublime chanson de l'eau. Mes pieds se déplaçaient naturellement sur les pierres, mes mouvements était fluides. Yay ! Je suis nulle quand il s'agit d'utiliser mon cerveau, mais je suis forte quand il faut danser dans l'eau. Et puis, je fais comme l'eau. BIM. Je SUIS l'eau. Ca sonne comme un truc bien ça...
Puis je rouvre les yeux.
Tous les regards étaient braqués sur moi. Ils me dévisageaient tous, encore une fois.

* Ce moment gênant quand on réalise qu'on est pas tout seul *

Certains regardaient  le boitier que je tenais qui apparement me servait à écouter de la musique, certains regarder ma jolie jupe, et puis certains me regardaient, moi. Haha, bien ! J'étais jolie en plus !

Euh bref. Je ne pouvais pas juste rester là comme ça en ayant l'air d'une vraie folle. Je débranchais les écouteurs, l'envoyant danser dans l'eau. Et l'eau semblait vouloir danser avec lui, l'entrainant de plus en plus loin, de plus en plus profond dans la rivière.
Une fois ces petits machins arrachés au boitier, tout le monde semblait entendre, comme moi, cette musique qui vous pousse dans l'eau, qui vous donne des frissons, qui vous implore de plonger, d'aller jusqu'au fond, de rester là, sous l'eau, qui vous enveloppe de son étreinte glacée. Ils se taisaient. Je les avaient tous super étonnés là j'dois dire.

"River  Song"

Hu ?... Quoi ?

" je ne sais pas, il me semblait que c'était comme ça qu'on disait, dans ma langue... Enfin, euh, quelle langue ? Excuse moi, pardon, je sais pas ce que je raconte, non moi... Je trouve que River  Song, c'est très beau. Ca lui correspond bien,  Je ne sais pas ce que c'était, la boîte là, mais le son, qui en sortais, et sa danse dans l'eau, mais oui, River  Song, Vous voulez dire, l'appeller comme ça ? PArce que... Faut bien se trouver des noms un jour, peut-être ? Elle par exemple, pourrait s'appeller River. River  Song, oui je suis d'accord aussi, et comment t'as fait pour mettre ce son ? C'est beau, oui c'est beau, Moi je suis assez d'accord on devraient se trouver des prénoms, Et River  Song ?, je dois avouer que ça lui va bien, mais le son, non attendez vous êtes sur que c'est pas juste une sorciere, elle est peut-être mauvaise, arrête, tu l'as vus chanter et danser non  ?, alors tu vois bien qu'elle ne peut pas être mauvaise, elle est en harmonie même avec l'eau et le son, Oui !, je la vois pas faire du mal moi, mais non, quand on l'a voit danser comme ça avec l'eau c'est comme, Oui de la magie mais en bien, Vraiment ? Mais arrêtez c'est pas normal du son aussi beau, chanter joliment et danser joliment par une jolie fille c'est forcément un sortilège, Mais soit pas jalouse Emy, Emy ? Elle elle s'appellera Emy, mais je veux pas, vous avez dit qu'il fallait se trouver des prénoms, euh bah oui mais à la base c'était pas pour, enfin, t'inquiètes River  Song c'est le plus joli alors il faut comprendre qu'on le garde pour la meilleure, la meilleure oui, mais je vous dis de faire attention à elle elle est bizarre quand elle sest reveillé vous savez elle a même, on sen fiche, c'est parce qu'elle est spéciale ! Hé là on dérape du sujet, River alors, oui, River  Song, oui, moi ok, go ouais, yep, c'est cool je suis ok, donc on l'appelle comme ça, River  Song, River   Song, River  Song, ça me va !, River  Song, River  Song, Bon alors va pour River  Song ! "

Maintenant ce n'était plus du tout pareil, non, mon arrivée était bien trop belle pour être vraie. J'aurais du me douter que ça ne pouvait pas durer.

Pourquoi fallait-il que j'accepte de rencontrer ce général, et que tout s'écroule, comme ça. Je sentais que j'avais de la chance, pour ce boitier. Les autres, ne s'étaient réveillés avec rien d'autre que leurs vêtements, et moi, moi j'avais un objet qui me rattachait à mon monde. Dès mon arrivé ici, tout me souriait. Je n'aurais jamais pensé qu'une telle  cruauté se cacherait sous cette façade pourtant si magnifique.

Comme on me l'avait demandé, je m'étais rendue chez le général, pour lui apporter ma musique. Mais ça ne se passait pas comme prévu du tout.

"- Qu'est-ce que vous faites, là, avec mon boitier ? Vous avez voulu le voir, ok, mais il m'appartient. Rendez le moi.
- Dois-je vous rappeler que je suis un des généraux des humains ? Bien. Vous pouvez disposer à présent.
- Nan mais il se fiche de moi, le moustachu ? T'es un général ah  ? Cool pour toi, maintenant rends le moi, je l'ai pas apporté ici pour que tu m'le prennes, juste pour que tu l'écoutes, pour savoir ce que c'était. Alors j'ai déjà bien voulu bouger mon cul jusque là alors que si tu voulais vraiment l'écouter t'aurais pu te ramener quand même, mais non, pour faire plaisir à Môsieur j'ai daigné me déplacer jusque là. Rends le moi ! Hey !
Aucune réponse, le général ne s'était même pas retourné. Il avait juste continué son chemin, laissant aux gardes me retenir alors que lui partait tranquillement avec mon boitier, juste sous mes yeux.

Pourquoi est-ce que j'avais mis les pieds ici, pourquoi est-ce que j'avais écouté, comment il pouvait faire ça, moi qui m'étais dirigé vers les bunkers du général avec un grand sourire, que, oui, si c'est pour apporter la musique, je serais toujours présente, s'il voulait l'entendre, c'était volontiers.
J'étais resté là-bas, aux bunkers, tentant de récupérer mon boitier à tout prix. J'avais presque réussis une fois, mais des gardes m'avaient surprise. Alors par pur précaution, ils m'avaient finalement enfermée. Je risquerais pas de leur  " volé " comme ça. Et puis c'était bien, ils m'avaient sous la main. Jour après jour, je les entendaient parler d'échanges, de livraisons chez les nekos. Et je me réveillais chaque matin, me demandant si c'était aujourd'hui, que l'échange aurait lieu, si c'était le dernier matin de ma vie. Parce que oui, je connaissais la réputation des nekos, oui, ils ne m'auraient pas acceuillis en amie, et oui, j'allais mourir déchiqueté. J'ai cru que j'allais devenir folle. Chaque nuit je me voyais mourir, de façons différentes, je me réveillais en criant, je pleurais, pourtant personne ne venait me délivrer, j'étais condamnée. Des fois, on oublait de me donner mes repas. J'hurlais, rien n'y faisait, j'étais seule, toujours. Puis quelques jours après, les habitants des bunkers se rappelaient mon existence et me redonnaient mes portions. Au bout d'un moment, je ne criais plus, et plus question qu'une larme ne coule. Je m'y étais habituée. Enfin, la douleur physique, elle n'était pas si terrible. Le plus dur fur la solitude, enfermée entre quatre murs dont il m'était interdit de sortir, et le fait de savoir pertinnement que j'allais mourir, et que la seule chose que je pouvais faire était de prier pour que ce ne soit pas demain. Je passais mes jours à me lamenter, je sentais l'angoisse, monter, de jour en jour, mais non, il n'en était plus question. Personne, non, personne ne viendra jamais pour moi. Il fallait trouvé des moyens de sortir d'ici, et vite. J'allais me délivrer moi-même. Je ne savais pas si j'en étais vraiment capable, j'étais trop fatiguée, je ne trouvais pas le sommeil, je me demandais si j'allais mourir peut-être, mais je préférais ça plutôt que de rester plus longtemps dans cet endroit.
Quand j'étais fatiguée de réfléchir et d'observer chaque feinte, chaque pierre qui me permettrait de sortir, chaque barreaux, chaque contours, que j'avais appris par coeur, je prenais appuis sur mon lit pour regarder dehors. Je pensais à ce monde, je pensais à la vie que j'aurais pu avoir, je pensais à la vie que j'avais eue avant.  Quand j'étais mal, je m'allongeais au sol. Il était dur et froid, quelque part il me rassurait, il me faisait sentir vivre. Cet froideur qui m'enveloppait, quelque part, me rappelait la rivière.
Et le général m'apprenait à me tenir correctement, à parler correctement, car oui, j'étais censé passer un traité avec les nekos. Un traité hein ? C'est juste que, même enfermée, je tentais toujours de me débattre et m'échapper, alors, par pur précaution là aussi, il essayait tout simplement de se débarassé de moi. Comme les humains m'aiment, il était difficile de juste m'éxécuter comme ça. Alors que " River à voulu passer un traité avec les nekos voulant leur apporter la musique... Elle l'a fait pour nous, et elle en est morte... Elle qui voulait apporter la musique à tout le monde..." Evidemment ça passe mieux. Mais même moi, j'avais bien compris ça. Le sois-disant traité, là, " River ( donc la musique ) en échange d'une aide des nekos contre les anges ", c'est juste un peu gros que non, ça ne passera jamais, et non, ils allaient pas être très d'accord avec ça les nekos.

Puis j'arrêtais de manger. De mon plein gré cette fois. Tout ce qu'ils me donnaient, je le jetais par la fenêtre. Vous me diriez, c'pas le moment pour faire un régime, elle est pas futée celle là. En effet, je ne brille pas de ma grande intélligence. Mais je ne cherchais pas à perdre un peu de poids pour faire plus joli, de toutes façons, et bien quoi ? à qui j'allais plaire ? Au général qui ne souhaitait que ma mort peut-être ? Nan hein. Après quelques jours, quelques mois, quelques années, je ne savais pas, j'étais faible, j'avais perdue toute notion du temps, je ne me débattais plus quand le général marchait juste à côté de ma porte, me regardant de son grand sourire sadique, écoutant ma musique. Mais j'avais maigri, suffisament pour passer à travers les barreaux. Alors cette nuit là, j'avais pris ma nourriture, et une fois sortie de ma prison me glissant à travers les barreaux j'avais mangé comme jamais. J'étais descendue, tout doucement, brique après brique, je descendait au fur et à mesure de ce mur immense. Plusieurs fois j'avais manqué de tombé, mais c'était sans importance, ça. Je préférais tomber ici, en cherchant ma liberté, que restée coincée dans une cage et mourir peu de temps après entre les griffes des nekos (c'est le cas de le dire haha). Une fois au sol, j'avais juste  pris un arc et j'étais partie.

Je ne savais pas moi, que c'était gouverné. Je ne savais pas, qu'on me le prendrais... On m'avais accueillie en amie, pourtant. Et ils m'avaient volés ma vie. Oui, ma vie. C'est tout ce que je savais de moi, c'est tout ce qui me raccrochais à moi même: la musique, le jour du réveil, et ils me l'avaient pris.
Pourquoi, seulement, pourquoi. Je leurs avaient montré, je leur avais fait écouté, ils ne l'avaient pas, alors je l'apportais. Je voulais seulement être leur espoir, , oui, je voulais apporter la musique, à tout le monde. J'aurais parcouru tout. J'aurais traversé Hurricane, pour l'apporter, j'aurais traversé la guerre pour leur montré. Je pouvais être leurs espoir, à tous.

J'aurais pu. Mais non, mon boitier, revient aux généraux, bien sur. Et tu te soumets ou tu dégages ma jolie. Et bien je dégage, connard. Je compte bien. Je peux pas rester de toutes façons. La musique s'était répandue, dans tous les coins du territoire humain. Arrivé jusqu'aux oreilles des généraux, ah, ils veulent me rencontrer ? Non, seulement me le piquer. Kay. Ce boitier est ma vie, ma vie, que je menais dans un autre monde, ce boitier est un objet qui viens d'un autre univers, de mon univers.
River  Song, la fille qui a apportée la musique. Et maintenant tu dois danser et chanter, maintenant fusionne avec l'eau, maintenant crée la musique, c'est bien, demain tu apprendras à parler avec un langage correct, tu es importante maintenant, tu nous as apporté une merveille, hmm, oui, et puis tiens toi droite, et parle correctement, puis ouais, chante, et danse, tiens toi droite j'ai dis, le peuple t'admire, fais bonne figure, tout de même.

Vos gueules, tous. Vous prétendez m'aimez hein. Tout ce à quoi vous pensez vraiment n'est autre qu'à ce boitier. Mais je pouvais vous montrer moi, je pouvais danser pour vous tous, je pouvais vous apprendre, je comprends ça, que vous voulez touchez à une telle merveille, mais oui,  j'étais prête à faire ça, moi, vous l'apportez. Ouais. T'aurais pu, River, t'aurais pu.


Il faut que je quitte la ville maintenant, va falloir se dépêcher, je ne veux plus vivre comme ça. Au moins, j'ai pris un arc. Je sais même pas comment le tenir,  mais voir quelqu'un avec un arc, chais pas pourquoi, je m'imagine direct que la personne sais parfaitement bien s'en servir et que c'est un vrai pro... Alors qu'une épée, tout le monde peut en avoir, juste comme ça, ça fait pas le même effet. Bon c'est surtout parce qu'une épée, c'est beaucoup trop lourd, en fait. Mais je veux pas partir. Je veux reprendre ce qui m'est du. Je peux pas quitter cet endroit, non, je sais plus quoi faire, à la fin, tout ce que j'ai fait n'a servie à rien, je n'aurais pas du m'évader, je ne sais pas, je n'ai nul part où aller.

"- Je t'ai déjà entendue chanter, tu sais. Tu les connais, les musiques. Tu peux la créer, je t'ai déjà vue faire ça aussi. Alors part. Invente la musique, apporte la aux gens. Tu es notre espoir, notre futur, je le sens. Hésite pas. Comme tu le dis, même si tu ne sais pas te battre avec un arc, ça fait peur. Alors sert-en, utilise le bluff, et chante pour nous, pour tout le monde. "

Depuis le début, en fait. J'étais descendue du mur, avait réussie à m'échappée pour finalement me lamenter à voix haute... Tain heureusement que ce n'était qu'elle, sinon tout mon plan aurait foiré à cause de ma tête qui tournait, le manque de sommeil, de nourriture, sans doute, et qui m'avait fait parler à voix haute.
" Désolée hein... Je t'ai entendue au début, je pensais partir tout de suite, mais j'ai vue que c'était toi. Alors bon, je suis restée. Je pensais pas parler non plus, mais je t'ai vue pleurer, alors... Moi je pars d'ici. Viens avec moi. Tu me montreras, comment chanter comme ça. "
Oui, je l'ai suivie, cette fille sortie de nulle part.
On voyage, on est loin des autres. Nous contre le monde.
On voyage, encore, loin des guerres et du sang.
Alors, oui, c'était horrible. Je ne sais même pas combien de temps j'ai passer dans ma cellule, oh pardon, mes appartements disait-il.
Je ne sais pas combien de fois j'avais regretté, pleuré, crié contre moi-même, regrettant d'avoir été si stupide et d'avoir accepté de le rencontrer ce général.

Mais ça c'était rien. J'avais pu la rencontrer elle, alors, même si j'avais endurer tout ça, c'était pas grave, elle était là maintenant, et c'est grâce à ça qu'on avait pu vivre comme ça, voyageant à travers les terres, ensemble.


----


Mais maintenant le général voulait sa revanche, toujours. Plus question de passer un accord, avec trucmuch machin truc pour se trouver une raison de m'éxécuter, il fallait juste que je sois morte, c'est tout. Alors il m'avait retrouvée, et sous la fusillade il m'avait blessée. Elsa m'avait porté, on était partie. D'un instant à l'autre ils nous retrouveront c'est sur, pour nous tuées. Elle m'avait déposé dans une petite grotte qu'elle avait trouvé. Elle me demandait de bouger, qu'il fallait partir, à tout prix parce qu'ils pouvaient revenir, et ils nous tueraient alors " River viens, aller, vraiment, il faut partir, River, je t'aiderais, mais on doit partir ". Mais je ne pouvais rien répondre, non, je ne pouvais pas. Mon épaule et ma jambe souffrait, je suffocais. Je n'arrivais pas à respirer, je ne pouvais pas parler, je n'arrivais même pas à pleurer ou à crier. Il me semblait que j'étais morte. Je me rappelais ces moments que j'avais passer à avoir faim, à regarder la nourriture devant moi, et alors que mon corps me criait de tout manger, non, tous les jours, je rejettais le plat, je n'étais pas encore assez fine pour m'échapper. J'avais mal, et je sentais ma tête tournée. Je ne dormais pas non plus, car j'avais peur que je ne maigrisse pas assez vite, qu'ils me tuent avant. Sous mon rocher, je ressentais ces mêmes sensations, à une exception près. Je l'avais elle, alors peu importe ce qu'il m'arrive. Tout ce qui me raccrochait à la vie était la vision d'Elsa qui essayait de me lever pour partir. Et toutes les deux, on entendit un bruit. Un bruit de pas, d'armes. Ils nous avaient retrouvés.
Elsa pris peur je crois. Elle me serra dans ses bras, pour la dernière fois, et partie en courant.
Je me souviens encore de son regard plein de larmes, et de son dernier sourire. Puis me j'étais évanouie.

Je me réveillais, le lendemain, puis j'appelais Elsa. Elle n'était pas là, bizarre. Puis je me rappelais qu'elle était partie, et que la garde avait du me tuer. Il semblait pourtant que, miraculeusement, mes poursuivants avaient changés de destination au dernier moment, puisque je n'étais pas morte. Enfin jcrois. C'est tout comme si j'étais morte. J'étais seule. J'étais incapable de penser, tellement la douleur était forte. Non, pas la douleur que le général m'avait infligée. Une autre, bien plus terrible. Elle me pesait tellement dessus, que je restais quelques jours dans la grotte, les deux premiers sans pouvoirs fermé l'oeil, fixant un même point, mon esprit vide. J'étais vidée, vidée de tout.
Puis il fallait que je mange, que je me nourisse, que je boive. Je faisais instinctivement. En fait, mourir aurait surement était mieux. J'en avais assez de souffrir. Comme à mon premier jour, à mon arrivée, je rampais, en dehors de la grotte. Je rampais jusqu'à trouvé de l'eau, tout d'abord, pour boire et soigner mes plaies, et des fruits, de l'herbe, je ne faisais même pas attention à ce que je prenais. La rivière m'appellait de son doux ruissellement sur les pierres. Non, pas cette fois, je ne chanterais pas, je ne danserais pas. Je n'avais pas la force. Ce ne serait plus jamais comme avant, maintenant.

Je me réveillais, comme je le faisais chaque matin depuis son départ, où chaque jour passait sans que je parle, sans que je ne me nourisse, les jours où je marchais, je ne pensais à rien, je fixais quelque chose au loin, sans savoir quoi.
Cette fois j'entendait sa voix, qui m'appelait, alors je me levais, je criais Elsa, j'étais heureuse, elle était revenue, alors je bondis, grand sourire, j'avais le coeur serré, j'étais remplie d'espoir. Je sautillais, je la cherchais. Elle était pas là. Je décourageais, je savais que je venais de rêver, mais je la cherchais, jusqu'au soir. Je m'écroulait sur le sol. J'avais bien rêvé oui, elle ne m'avait jamais appelé. Alors je pleurais, je criais. Je n'étais plus vide, sa voix m'avait redonné espoir, et là je réalisais juste ce qu'il s'était passé, oui elle était partie, elle m'avait laissée.
Et puis je me rappelais de ces moments. Elsa qui me proposait de voyager avec elle, qui m'avait soulevé lors de l'attaque du général, malgré la fusillade, elle aurait pu mourir, mais elle était resté, elle m'avait porté jusqu'à ce qu'on puisse s'échapper. Alors pourquoi partir maintenant ? J'étais en colère contre moi même, contre elle, comment elle avait pu me trahir, et puis, j'aurais juste voulue un aurevoir. Au moins. Après tout ce qu'on avait traversé ensemble, j'aurais juste voulu un aurevoir. J'étais blessée ce jour là, et je ne pouvais pas ouvrir la bouche, je ne pouvais pas extraire de son, je le savais. Mais j'aurais du. J'aurais du me dépasser, j'aurais du la prendre dans mes bras aussi, la regarder droit dans les yeux, l'embrasser, et lui dire aurevoir. Mais elle n'aurait pas du me quitter, le général avait finalement laissé tomber, si elle était resté, si elle m'avait aimé jusqu'au bout, on serait vivante encore toutes les deux. Alors ça ne pourrait jamais être la même chose, c'est sur. Jamais nous ne voyagerons ensemble encore, jamais. Elle m'avait trahie, je ne l'oublierais pas, c'est certain. On s'était aimé, tellement, on était prête à mourir ensemble, et j'étais prête à tout pour elle. Elle avait été lâche, oui, et jamais ça ne serait pareil si je la retrouvais.
Mais je n'ai pas pu lui dire adieu. Alors je l'a retrouverait, et puis je partirais alors, un adieu, c'était tout ce qu'il me fallait, ça ma suffisait. C'était ce que je me disais. Je savais que si je la retrouvais, je la supplierais de rester avec moi, mais non, elle ne voudrait jamais, c'était certain.

Je commençais mes recherches. Je ne pouvais pas rester comme ça. Si elle ne voulait plus de moi, alors je lui dirais aurevoir. Et ça sera bien comme ça. Je serais triste, oui, mais c'est rien, ça, si j'ai pu lui dire aurevoir. Je continuerais à chanter, je continuerais d'avancer, ça sera dur mais j'y arriverais. Encore une fois, c'était ce que je me disais. Je l'aimais, plus que tout, et si elle ne me voulait plus, alors je me demandais, comment est-ce que je pourrais vivre, non, je ne pourrais pas.
J'esperais qu'elle veuille encore de moi. Quelque part j'esperais qu'elle ait peut-être ses raisons, qu'elle soit partie parce que le riz aller refroidir, je ne sais pas, c'était totalement absurde, mais j'esperais ça, je ne pouvais pas me faire à l'idée qu'elle m'ait abandonnée, alors que c'est clairement ce qu'il s'était passée, c'était clairement la seule explication possible, mais je ne pouvais pas l'accepter, non, elle n'aurait pas pu.

J'étais revenue à l'endroit où elle m'avait laissé, cette petite grotte qui avait contenu mon petit corps.
J'ai marché, questionné les gens.
Et puis finalement j'ai eu ma réponse.
" River ? LA River ?
Oui, oui c'est moi, mais je vous demandais si...

Nous tous, on te croyait morte ! Une fille est allée voir le général en pleur, en disant qu'il t'avais tuée, qu'elle avait du t'enterrée... Elle est entrée dans une rage folle, elle criait qu'elle allait avertir tous les gens de ce qu'il avait fait, qu'elle allait se venger et tout... Soit je vois un fantôme ou bien, la fille a perdue la tête.

La fille, qu'est-ce qu'ils en ont fait de la fille ? Elle est partie par où ?

Nan mais River, c'est incroyable, je pensais vraiment t'avoir perdue...

REPOND, ELLE EST PARTIE OU ?

euh, elle a dit qu'elle partait en direction des bunkers... il me semble...."

Je n'avais pas une minute à perdre. Je courais de toutes mes forces.
Elsa m'avait appris, à être agile, se faufilé, volé aussi. Je n'avais jamais mis ce qu'elle m'avait appris en pratique. C'était pour me renforcer, parce que j'avais peur. De me retrouver une nouvelle fois enfermée, sans pouvoir m'échapper. C'est donc avec facilité que j'entrais dans le bunker du général. Il fallait absolument que je sache ce qu'il avait fait d'elle. Je parcourais les salles, pour arrivée à la chambre de l'homme que je détestais tant. Ma respiration s'accélérait, je sentais mon coeur tambouriné dans ma poitrine. J'avais retrouvé Elsa oui. Mais je ne m'attendais pas à ça, enfin, je m'étais empêché de penser à cette solution. Moi qui étais restée pendant tout ce temps dans ma grotte, à déprimé, " Elsa m'a abandonnée, je suis la plus malheureuse des filles, ohlàlà " alors qu'elle, avait lutté pour moi. Elle avait passer ces derniers jours à me sauvé la vie, et moi, moi j'avais douté d'elle, je l'avait prise pour une lâche. Je me déteste.
Je pris dans mes bras son corps qui gisait au sol, là, dans les appartements du général. Je savais que je ne pouvais pas me permettre de pleurer et de crier, je serais découverte sinon. Alors je restais là, suspendue au dessus d'elle, à pleurer silencieusement. Une main vint se poser sur ma joue. Elle était encore en vie, elle me souriait.
" Elsa, Elsa ? Il faut te trouver un soignant, il faut...
- T'inquites pas, River. J'ai eu de la chance déjà de pouvoir voir ton visage pour mes derniers instants en ce monde tu sais, le général m'a baclé haha. Il avait une guerre urgente à mené contre les anges, alors, il a pas du voir que j'étais encore en vie, ou comme tu le sais, il a très bien pu vouloir me faire mourir lentement, pour que je souffre, c'est bien son genre. C'est d'ailleurs pour ça qu'il m'a tuée, mais, je regrette pas. Tu dois fuir River, fais le pour moi, même si je t'ai abandonnée, tu sais je t'aime... Alors fuis, fuis.
- Tu ne m'as pas abandonnée, j'ai tout compris. Mais on peut encore chercher un médecin, il va te soigner, et

Non. J'ai perdue trop de sang... "
Elsa jeta un regard sur mon arc que j'avais toujours, puis sur moi.

" Non, non Elsa, on peut essayer de te soigner..."
Je savais que c'était perdue d'avance. La blessure était profonde, certes, mais pas assez pour lui laisser une mort rapide. Ca devait faire un ou deux jours peut-être, qu'elle était comme ça. Je ne pouvais plus rien pour elle. Et je ne pouvais pas la laisser souffrir encore.
Je pris une flèche. Je pleurais comme jamais je ne l'avait fait.

" Oh, une dernière chose. Ton boitier, il est dans le tiroir en bas à droite "
Elle me glissa un dernier sourire, pendant que je lui otait la vie. Je savais comment faire, depuis mon séjour chez le général, je rêvais toutes les nuits de mes morts, je savais où il fallait frapper pour tuer.  Je reposait délicatement son corps au sol. Dernier tirroit à droite, il était bien là. Je pris mon boitier que je n'avais pas revue depuis une éternité, je le glissait dans ma poche, et pris Elsa dans mes bras.

Il lui fallait un joli endroit, doux et chaleureux pour déposer son corps. Un joli jardin, avec des fleurs, comme Elsa les aimait, c'est là que je choisis de la déposer. Cette Elsa, qui m'avait sauvé la vie. Moi qui avait pensé qu'elle m'avait abandonnée. Non, elle était allée divertir les gardes pour qu'ils ne me découvrent pas, disans que j'étais morte. Et comme tu t'es enfuie, de peur que tu ne préviennes tous les soldats que " le général avait tué River " et qu'ils protestent contre lui, alors qu'il avait une guerre à mené contre les anges, ils t'ont pourchassé pour te tuer, quelqu'un t'a vue, oui, on m'a raconter. S'ils ne t'avaient pas pourchassé, ils auraient continué leurs chemin, et je serais morte. C'est ma faute tout ça. Il te faut un joli endroit, maintenant, où ton corps pourra reposer.

La femme qui m'avait sauvé la vie, je venais de la tuer. Tout ça c'était ma faute. Celle du général. Et de la guerre. Jamais je ne pourrais me pardonner, de ça. Si j'étais arrivée plus tôt. Si j'avais cru en elle. Si je l'avais retenue, de partir, si je m'étais moi-même rendue, elle serait encore en vie. Si le général ne tenait pas autant à sa foutue guerre. Moi j'allais l'arrêter. Il fallait que je cesse tout ça. Il y avait trop de victimes là dedans. C'était tout ce qu'on avait voulue éviter, Elsa et moi. La guerre, le général, ils me l'avaient prise. Alors moi, j'allais arrêter tout ça, oui.

" Je suis soldat, j'ai un message à faire passer au généraux, où se trouvent-ils ?"  Aussi facile que ça.

J'arrivais sur les lieux. Je retrouvais l'île volante imposante, celle que j'avais vue à mon arrivée. Les généraux se faisaient face. Dans les deux camps, ils n'attendaient que le moment où ils pourraient se ruer sur l'ennemi enfin. Pour l'instant, ils se contentaient de communiquer, je ne sais trop pourquoi. Je les traversais, pour arriver entre les anges et les généraux. Je pensais arriver alors que la guerre battait son plein, et que personne n'aurait voulue m'entendre, mais non. C'était presque trop facile.
" Vos gueules, vous tous.

Trop de morts. TRop de blessés ou de disparus. Cette guerre n'aurait jamais du existée. Les humains l'ont commencé, les anges ont suivis. Et elle n'en finit pas. Il y a des années, vous combattiez par vengeance. Vos maris, vos femmes, vos élèves, vos enfants ou vos amis... Ont subis la vengeance des deux peuples. Aujourd'hui vous ne savez même plus pourquoi vous combattez, quels sont vos raisons. Vous êtes devenus des monstres assoifés de sang , qui ne pensent qu'à tuer et à combattre pour oublier vos peurs et vos questions, pour vous inventer un but. Cette peur que ce monde dans lequel nous vivons ne soit qu'un rêve. Alors vous vous donnez de l'importance en prétendant sauver votre nation, mais vous ne cherchez que de la putain de chair fraiche à tuer, du sang à couler, encore et encore.
Et de jour en jour, des innocent meurent. Aujourd'ui la femme que j'aimais est morte. On prenait seulement de l'eau dans la rivière. Et vous êtes arrivés. Vous êtes arrivés pour nous tués. Elle essayait juste de me protéger, alors elle a menti sur ma mort. Et pour éviter de perdre des soldats, parce que oui, les gens m'aiment. Et juste pour éviter de perdre quelques soldats qui aurait pu partir en apprenant qu'un général m'avait tué, aucun scrupule à la tuer.
Alors si cette guerre n'est pas du simple sadisme, quelle est-elle donc ?
Il est temps d'en finir. Baissez vos armes. Arrêtez ces incessantes morts. Nos deux peuples réunis peuvent faire tellement ensemble. Nous pourrion s'allier. Nous pourrions maintenir la paix dans ce monde, ensemble. Une idée est déjà présente parmis nous. Parmi tous. Et ne jugez pas que les humains ! Vous aussi, je le sais. Cette idée touche tous les peuples, toutes les époques, sur toutes les terres. Elle risque de causer notre perte à tous. Si nous combattions un vrai but cette fois. Pour la protection de ce monde. Ensemble. Et vous arrêteriez alors de vous entredéchirer mutuellement pour une cause inconnue si ce n'est que pour le sang. Cette guerre est là pour vous trouvez un but, pour faire semblant de se battre pour une vraie cause. Alors que l'on en à une vraie, de cause à défendre ! Juste sous nos yeux, qui plus est. La destruction de nos terres, de nos vies, de ce monde ! Alors pourquoi perdre votre temps avec cette guerre ? Cette guerre sera notre fin à tous. Les deux peuples ont besoin de s'allier s'ils veulent combattre l'idée. L'idée est forte. Elle se propage de plus en plus. Vous savez à quoi cela mène, vous les anges. Si on est diviser et que l'on s'entretue on ne pourra jamais résister. Qu'avez vous à perdre, en baissant vos armes ? Qu'avez vous à perdre, en les brandissant pour un vrai but noble, pour l'avenir de nos enfants ? Arrêtez ce carnage.
Je vous apporte la musique, apportez moi la paix. "

Une flèche. Je l'ai entendue venir pourtant. Mais je n'ai pas bougé. Je n'ai pas eu la force. Quand bien même j'aurais bougé, sans doute une autre flèche serait venue m'accueillir. Je sentais mon corps tombé. J'avais été stupide, depuis le début. Je ne pouvais pas stopper une guerre ridivule comme celle-ci qui était sur le point de voir le jour. Mais ce n'était pas si mal. On tombait ensemble. Je ne serais pas seule dans ce monde alors. De toutes façon je n'aurais pas pu.
Je me sentais m'endormir... Je pouvais voir un peu. Des visages. Des gens qui accouraient vers moi... Et puis plus rien. Une deuxième flèche. Elle était en feu celle là.
Ces quelques dernières secondes qui me restait, non, je ne peux pas mourir, Elsa c'est sacrifiée pour moi, je dois rester, je dois me battre, finalement le général à eu ce qu'il voulait, aller, relève toi, tu ne ne peux pas mourir, combat toi !, aller River, c'est ce qu'elle aurait dit, elle, relève toi je vais t'aider, relève toi !

je n'avais pas mal. Je ne sentais rien. Mes jolis cheveux étaient intacts, en fait, cette fois je m'en fichais. C'est ça, la mort ? Alors je pourrais revoir Elsa ? Si j'étais morte, je pouvais voir les autres morts, il devait bien avoir un truc comme ça, où on peut se connecter entre nous , je ne sais pas. Il fallait que je la retrouve.
Mais, aïe. Mon dos. On ressent vraiment ça quand on est mort ? Je ne sais pas, je ne sais plus...


Il m'a fallue du temps. Non je n'étais pas morte. Il m'a fallue du temps pour l'accepter. J'avais ressucité de mes cendres, tel un phénix. Il fallait que j'avance, seule, ce poids de culpabilité sur mes épaules. C'est comme si j'avais essayé de mourir, et qu'une deuxième fois, Elsa m'avait protégé. J'avais juste envie de tout arrêter. Mais je ne pouvais pas. On m'empêchait de mourir. Est-ce que c'était pour chanter, pour apporter l'espoir ? Je ne sais pas. Mais le boitier reposera au côté d'Elsa. Je veux lui donner tout ce que je peux. C'était la chose la plus importante de ma vie. Mais comparé à Elsa, il n'est rien. Mais c'est tout ce que je peux faire, pour la remercier.

Mais je veux continuer à redonner espoir aux gens. Je veux essayer d'arrêter la guerre. Je le sens, ma tâche est d'aider ce monde.

Comme si on me donnait une deuxième chance de le sauver.

Et je la prends, cette deuxième chance, oui, je le sauverais, c'est certain.





Nom : River  Song

Age : Je sais pas

Race : humain

Fait partie de ceux qui se révoltent (qui ont l'idée) ? nope

Fait partie de la guerre entre les anges et les humains ? nope
~ Présentation de Khaleesi, la parfaite et magnifique, majestueuse déesse  ~       648718six

Prénom: quelque chose

Age : 1612 ou 1814, j'en suis plus à 200 ans près

As-tu déjà RP ? euh

Tu connais le groupe Thirty Seconds to Mars ? '-'

Comment est-ce que tu as connu ce fow ? '-'

Tes goûts/passions : Brave *W*

Quels rangs souhaites-tu avoir ? Fonda :D

Est-ce que tu trouves que Jared Leto est fckin sexy ? *-* A votre avis @-@


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